Endométriose : « un handicap » pour certaines femmes (partie 2)

De nos enquêtes, il en ressort qu’Il n’y a pas assez d’organismes qui combattent contre cette maladie, car elle est encore méconnue et banalisée. Néanmoins, il y a le mouvement « ENSEMBLE, PARLONS DE L’ENDOMETRIOSE » initié par l’Association Vie et espoir en Côte d’Ivoire en collaboration avec Mme Victoire Carole Abou, Présidente de l’Association « AGIR CONTRE L’ENDOMÉTRIOSE’’ qui a pour but de faire connaître cette maladie qui touche une femme sur dix en âge de procréer dans le monde y compris la Côte d’Ivoire.

Ils organisent des collectes qui servent à la :

-Mise en place de manifestations pour sensibiliser les jeunes filles à cette maladie.

-Mise en place de réunions de couple pour sensibiliser sur la maladie

-La recherche scientifique

-Mise en place des moyens et des filières de soins endométriques

-Recommandation pratique de soins et de clinique en Côte d’Ivoire

-Permettre aux jeunes femmes d’avoir des enfants malgré la maladie

Cependant en France, EndoFrance est la première association de lutte contre l’endométriose.  Elle est aussi la première à avoir été agréée par le Ministère des solidarités et de la santé. Au Bénin, il y a aussi EndoEspoir qui lutte contre cette maladie handicapante. Selon L’Organisation Mondiale de la Santé en abrégé OMS, l’endométriose touche près de 10 % des femmes et des filles en âge de procréer à l’échelle mondiale, soit 190 millions de personnes. (Des chiffres datant du 31 Mars 2021). Des chiffres alarmants. Des organismes font de leur mieux, mais est-ce suffisant?

Toute femme mérite une sexualité épanouie, des règles sans douleurs, de vaquer à ses occupations sans contrainte, de vivre tout simplement. Alors, soutenons ces femmes comme nous pouvons sans les pointer du doigt, elles ne l’ont pas choisi!

Rachelle SEKONGO

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